2025 | |||
21 février, 20:15
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Pays-Bas
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Muziekgebouw, Eindhoven H. Purcell, The Fairy Queen + Vox Luminis fait revivre l’histoire enchanteresse de The Fairy Queen qui s’inspire du Songe d’une nuit d’été de Shakespeare, une pièce qui, elle aussi, titille l’imagination visuelle. Les belles voix de Vox Luminis résonneront au milieu d’un jeu d’ombres à la frontière du réel et de l’inconscient, un nouveau projet du directeur artistique Lionel Meunier et de la scénographe Emilie Lauwers, en collaboration avec la dramaturge Isaline Claeys et le cinéaste Mário Melo Costa.
Co-production : Concertgebouw Brugge |
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22 février, 20:15
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Pays-Bas
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TivoliVredenburg, Utrecht H. Purcell, The Fairy Queen + Vox Luminis fait revivre l’histoire enchanteresse de The Fairy Queen qui s’inspire du Songe d’une nuit d’été de Shakespeare, une pièce qui, elle aussi, titille l’imagination visuelle. Les belles voix de Vox Luminis résonneront au milieu d’un jeu d’ombres à la frontière du réel et de l’inconscient, un nouveau projet du directeur artistique Lionel Meunier et de la scénographe Emilie Lauwers, en collaboration avec la dramaturge Isaline Claeys et le cinéaste Mário Melo Costa.
Co-production : Concertgebouw Brugge |
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23 février, 19:30
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Pays-Bas
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Muziekgebouw aan ’t IJ, Amsterdam – COMPLET H. Purcell, The Fairy Queen + Vox Luminis fait revivre l’histoire enchanteresse de The Fairy Queen qui s’inspire du Songe d’une nuit d’été de Shakespeare, une pièce qui, elle aussi, titille l’imagination visuelle. Les belles voix de Vox Luminis résonneront au milieu d’un jeu d’ombres à la frontière du réel et de l’inconscient, un nouveau projet du directeur artistique Lionel Meunier et de la scénographe Emilie Lauwers, en collaboration avec la dramaturge Isaline Claeys et le cinéaste Mário Melo Costa.
Co-production : Concertgebouw Brugge |
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14 mars, 20:00
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Belgique
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Eglise Notre-Dame de la Chapelle, Bruxelles Ein deutsches Barockrequiem + Pour son Deutsches Requiem, Brahms avait pu composer sa propre liturgie, les luthériens ne connaissant pas la messe des morts. Vox Luminis suit sa propre voie pour explorer des pages connues et moins connues de son répertoire, sur des textes de Brahms.
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15 mars, 19:00
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Belgique
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Abbaye musicale, Malonne Ein deutsches Barockrequiem + Pour son Deutsches Requiem, Brahms avait pu composer sa propre liturgie, les luthériens ne connaissant pas la messe des morts. Vox Luminis suit sa propre voie pour explorer des pages connues et moins connues de son répertoire, sur des textes de Brahms.
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16 mars, 17:00
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Luxembourg
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Eglise Saint-Pierre, Lintgen Ein deutsches Barockrequiem + Pour son Deutsches Requiem, Brahms avait pu composer sa propre liturgie, les luthériens ne connaissant pas la messe des morts. Vox Luminis suit sa propre voie pour explorer des pages connues et moins connues de son répertoire, sur des textes de Brahms.
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30 mars, 19:00
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Belgique
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BOZAR, Bruxelles Dies Irae + Une femme défonce un coffre en bois à coups de marteau. À proximité résonnent des accords de piano houleux. Huit contrebasses répètent indéfiniment la même phrase. Le Dies Irae de Galina Oestvolskaja marque l’apothéose du spectacle du même nom qui clôturera le Klarafestival 2025. Ce concert mis en espace a jailli de l’imagination de l’artiste invitée du festival, Patricia Kopatchinskaja : quelle réponse la musique classique peut-elle apporter aux urgences de notre époque ? Que peut entreprendre un musicien contre la guerre et le réchauffement climatique ?
En compagnie d’Aurora Orchestra et de Vox Luminis, Kopatchinskaja survole l’histoire de la musique, du Dies Irae [jour de colère] grégorien à sa réinterprétation contemporaine par Oestvolskaja, en passant par une Battalia baroque de Biber et l’émouvant Crucifixus de Lotti ou encore Black Angels de George Crumb. Cette production est tout à la fois une dénonciation et un appel. Une fois la matière musicale retombée, Kopatchinskaja vous invite à rentrer vaillamment chez vous et à aller de l’avant. Avec le soutien du Tax Shelter du gouvernement fédéral belge. |
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7 avril, 20:00
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Allemagne
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Philharmonie, Berlin J.S. Bach : Johannes Passion + « Cette musique exprime des choses que personne n’avait osé ou pu aborder jusqu’alors. » Tels sont les mots du compositeur Hans Werner Henze à propos de la Passion selon saint Jean de Johann Sebastian Bach. Nous ne pouvons qu’adhérer à ce jugement, tant les Passions de Bach restent uniques dans l’histoire de la musique. Dès les premières notes, il apparaît clairement que cette version plus courte et plus dramatique du récit de la Passion est un moment incontournable à vivre en direct, en particulier dans l’interprétation que nous propose Vox Luminis avec le Freiburger Barockorchester sous la direction de Lionel Meunier.
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8 avril, 20:00
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Allemagne
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Liederhalle, Stuttgart J.S. Bach : Johannes Passion + « Cette musique exprime des choses que personne n’avait osé ou pu aborder jusqu’alors. » Tels sont les mots du compositeur Hans Werner Henze à propos de la Passion selon saint Jean de Johann Sebastian Bach. Nous ne pouvons qu’adhérer à ce jugement, tant les Passions de Bach restent uniques dans l’histoire de la musique. Dès les premières notes, il apparaît clairement que cette version plus courte et plus dramatique du récit de la Passion est un moment incontournable à vivre en direct, en particulier dans l’interprétation que nous propose Vox Luminis avec le Freiburger Barockorchester sous la direction de Lionel Meunier.
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10 avril, 19:30
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Espagne
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Auditorio Nacional, Madrid J.S. Bach : Johannes Passion + « Cette musique exprime des choses que personne n’avait osé ou pu aborder jusqu’alors. » Tels sont les mots du compositeur Hans Werner Henze à propos de la Passion selon saint Jean de Johann Sebastian Bach. Nous ne pouvons qu’adhérer à ce jugement, tant les Passions de Bach restent uniques dans l’histoire de la musique. Dès les premières notes, il apparaît clairement que cette version plus courte et plus dramatique du récit de la Passion est un moment incontournable à vivre en direct, en particulier dans l’interprétation que nous propose Vox Luminis avec le Freiburger Barockorchester sous la direction de Lionel Meunier.
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11 avril, 19:00
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Espagne
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Palau de la Musica, Barcelone J.S. Bach : Johannes Passion + « Cette musique exprime des choses que personne n’avait osé ou pu aborder jusqu’alors. » Tels sont les mots du compositeur Hans Werner Henze à propos de la Passion selon saint Jean de Johann Sebastian Bach. Nous ne pouvons qu’adhérer à ce jugement, tant les Passions de Bach restent uniques dans l’histoire de la musique. Dès les premières notes, il apparaît clairement que cette version plus courte et plus dramatique du récit de la Passion est un moment incontournable à vivre en direct, en particulier dans l’interprétation que nous propose Vox Luminis avec le Freiburger Barockorchester sous la direction de Lionel Meunier.
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11 avril, 11:00
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Espagne
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Teatro de la Maestranza, Séville J.S. Bach : Johannes Passion + « Cette musique exprime des choses que personne n’avait osé ou pu aborder jusqu’alors. » Tels sont les mots du compositeur Hans Werner Henze à propos de la Passion selon saint Jean de Johann Sebastian Bach. Nous ne pouvons qu’adhérer à ce jugement, tant les Passions de Bach restent uniques dans l’histoire de la musique. Dès les premières notes, il apparaît clairement que cette version plus courte et plus dramatique du récit de la Passion est un moment incontournable à vivre en direct, en particulier dans l’interprétation que nous propose Vox Luminis avec le Freiburger Barockorchester sous la direction de Lionel Meunier.
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15 avril, 20:15
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Belgique
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Flagey, Bruxelles J.S. Bach : Johannes Passion + Vox Luminis apporte un nouvel éclairage sur la Passion selon saint Jean de Bach. Avec le Freiburger Barockorchester, l’ensemble ne présente pas l’habituelle troisième version de l’œuvre, mais bien la deuxième. L’encre des partitions de l’ouverture et de la fermeture de cette deuxième version était encore toute fraîche lors de la première le 30 mars 1725. Ces parties donnent à la Passion une aura plus modeste, mais elles sonnent de manière plus familière.
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16 avril, 20:00
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Belgique
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Concertgebouw, Bruges J.S. Bach : Johannes Passion + Vox Luminis apporte un nouvel éclairage sur la Passion selon saint Jean de Bach. Avec le Freiburger Barockorchester, l’ensemble ne présente pas l’habituelle troisième version de l’œuvre, mais bien la deuxième. L’encre des partitions de l’ouverture et de la fermeture de cette deuxième version était encore toute fraîche lors de la première le 30 mars 1725. Ces parties donnent à la Passion une aura plus modeste, mais elles sonnent de manière plus familière.
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18 avril, 18:00
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Allemagne
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Konzerthaus, Freiburg J.S. Bach : Johannes Passion + « Cette musique exprime des choses que personne n’avait osé ou pu aborder jusqu’alors. » Tels sont les mots du compositeur Hans Werner Henze à propos de la Passion selon saint Jean de Johann Sebastian Bach. Nous ne pouvons qu’adhérer à ce jugement, tant les Passions de Bach restent uniques dans l’histoire de la musique. Dès les premières notes, il apparaît clairement que cette version plus courte et plus dramatique du récit de la Passion est un moment incontournable à vivre en direct, en particulier dans l’interprétation que nous propose Vox Luminis avec le Freiburger Barockorchester sous la direction de Lionel Meunier.
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18 mai, 14:30
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Belgique
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Eglise St Gilles de Chaineux, Herve Giovanni Pierluigi da Palestrina, Missa Papæ Marcelli + Selon ses propos, avec sa Missa Papæ Marcelli de 1562, Palestrina sauva la musique figurée liturgique : il apaisa ainsi les prélats rassemblés lors du Concile de Trente, prélats excédés par la trop grande complexité de la polyphonie qui rendait incompréhensible le message spirituel des textes mis en musique. Le Pape Marcel II, satisfait de la limpidité palestrinienne, renonça à imposer la monodie grégorienne comme seul chant autorisé dans les églises. Il s’avère impossible de vérifier la véracité de cette anecdote. De fait, la beauté indicible de la Missa Papæ Marcelli repose en partie sur l’utilisation par Palestrina de mélodies tirées du plain-chant – technique qui parcourt, à vrai dire, toute l’œuvre du compositeur. Sans renoncer à la beauté de l’architecture sonore, et donc à la complexité, Palestrina livrait un chef-d’œuvre d’intelligibilité textuelle, la messe gagnant une aura incomparable au fil des siècles.
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20 mai, 20:30
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France
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Oratoire du Louvre, Paris Giovanni Pierluigi da Palestrina, Missa Papæ Marcelli + Selon ses propos, avec sa Missa Papæ Marcelli de 1562, Palestrina sauva la musique figurée liturgique : il apaisa ainsi les prélats rassemblés lors du Concile de Trente, prélats excédés par la trop grande complexité de la polyphonie qui rendait incompréhensible le message spirituel des textes mis en musique. Le Pape Marcel II, satisfait de la limpidité palestrinienne, renonça à imposer la monodie grégorienne comme seul chant autorisé dans les églises. Il s’avère impossible de vérifier la véracité de cette anecdote. De fait, la beauté indicible de la Missa Papæ Marcelli repose en partie sur l’utilisation par Palestrina de mélodies tirées du plain-chant – technique qui parcourt, à vrai dire, toute l’œuvre du compositeur. Sans renoncer à la beauté de l’architecture sonore, et donc à la complexité, Palestrina livrait un chef-d’œuvre d’intelligibilité textuelle, la messe gagnant une aura incomparable au fil des siècles.
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22 mai, 20:00
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Espagne
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Auditorio Príncipe Felipe, Oviedo Giovanni Pierluigi da Palestrina, Missa Papæ Marcelli + Selon ses propos, avec sa Missa Papæ Marcelli de 1562, Palestrina sauva la musique figurée liturgique : il apaisa ainsi les prélats rassemblés lors du Concile de Trente, prélats excédés par la trop grande complexité de la polyphonie qui rendait incompréhensible le message spirituel des textes mis en musique. Le Pape Marcel II, satisfait de la limpidité palestrinienne, renonça à imposer la monodie grégorienne comme seul chant autorisé dans les églises. Il s’avère impossible de vérifier la véracité de cette anecdote. De fait, la beauté indicible de la Missa Papæ Marcelli repose en partie sur l’utilisation par Palestrina de mélodies tirées du plain-chant – technique qui parcourt, à vrai dire, toute l’œuvre du compositeur. Sans renoncer à la beauté de l’architecture sonore, et donc à la complexité, Palestrina livrait un chef-d’œuvre d’intelligibilité textuelle, la messe gagnant une aura incomparable au fil des siècles.
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23 mai, 19:30
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Espagne
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Auditorio Nacional de Música, Madrid Giovanni Pierluigi da Palestrina, Missa Papæ Marcelli + Selon ses propos, avec sa Missa Papæ Marcelli de 1562, Palestrina sauva la musique figurée liturgique : il apaisa ainsi les prélats rassemblés lors du Concile de Trente, prélats excédés par la trop grande complexité de la polyphonie qui rendait incompréhensible le message spirituel des textes mis en musique. Le Pape Marcel II, satisfait de la limpidité palestrinienne, renonça à imposer la monodie grégorienne comme seul chant autorisé dans les églises. Il s’avère impossible de vérifier la véracité de cette anecdote. De fait, la beauté indicible de la Missa Papæ Marcelli repose en partie sur l’utilisation par Palestrina de mélodies tirées du plain-chant – technique qui parcourt, à vrai dire, toute l’œuvre du compositeur. Sans renoncer à la beauté de l’architecture sonore, et donc à la complexité, Palestrina livrait un chef-d’œuvre d’intelligibilité textuelle, la messe gagnant une aura incomparable au fil des siècles.
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13 juin, 20:00
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Etats-Unis
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Emmanuel Church, Boston Rossi & Carissimi + Sans Giacomo Carissimi, l’oratorio n’aurait peut-être jamais existé – ni d’ailleurs le récitatif. Le compositeur italien du XVIIe siècle, important précurseur et source d’inspiration d’Antonio Vivaldi, était brillamment contrariant à l’époque de la Contre-Réforme. Préconisant des compositions remplies d’émotions pour convertir le peuple, il a introduit subrepticement dans la musique sacrée la force d’expression intense de l’opéra. Ses oratorios magistraux – inspirés d’histoires bibliques comme celle de Jeptha, et de considérations sur la fugacité des ambitions matérielles dans Vanitas Vanitatum – sont de véritables opéras. Ils contiennent tout le drame, la tension et le large éventail d’émotions du genre lyrique au XVIIe siècle.
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21 juin, 19:30
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République Tchèque
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St Bartholomew Church, Moravský Krumlov Bach Dynasty + Vox Luminis a choisi d’éclairer la dynastie Bach à travers cinq compositeurs : Johann Bach, Johann Michael Bach, Johann Christoph Bach, Johann Ludwig Bach et Johann-Sebastian Bach. La généalogie de la famille Bach compte de nombreuses ramifications. Il est donc difficile de se rappeler qui a été le grand-oncle de l’un ou le cousin de l’autre. Ce qu’il faut retenir de ce concert, c’est qu’à travers cette imposante fresque familiale, Vox Luminis traverse près d’un siècle et demi d’histoire de la musique.
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2 juillet, 20:00
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Hong Kong
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St John’s Cathedral, Hong Kong Bach Dynasty + Vox Luminis a choisi d’éclairer la dynastie Bach à travers cinq compositeurs : Johann Bach, Johann Michael Bach, Johann Christoph Bach, Johann Ludwig Bach et Johann-Sébastian Bach. La généalogie de la famille Bach compte de nombreuses ramifications. Il est donc difficile de se rappeler qui a été le grand-oncle de l’un ou le cousin de l’autre. Ce qu’il faut retenir de ce concert, c’est qu’à travers cette imposante fresque familiale, Vox Luminis traverse près d’un siècle et demi d’histoire de la musique. L’ensemble vocal partira des motets de Johann Bach, composés au début du XVIIème siècle pour aborder les œuvres plus complexes du plus jeune (et non moins célèbre) Jean-Sébastien Bach.
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5 juillet, 20:00
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Hong Kong
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Tsuen Wan Town Hall, Hong Kong J.S. Bach : motets pour double chœur + Il est de notoriété publique que Bach a été prolifique durant toute sa vie. Toutefois, il ne nous a laissé que 6 motets dont 4 ont été écrits pour un double chœur. Du moins, c’est ce que nous savons de source sûre d’après le catalogue Bach.
Dans le cadre de la collaboration inédite entre Vox Luminis et NOĒMA, les ensembles de Lionel Meunier et Sanders Lau vont présenter ces 4 motets pour double chœur. |
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20 juillet, 11:00
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Autriche
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Kollegienkirche, Salzbourg Timor Dei + Sans Giacomo Carissimi, l’oratorio n’aurait peut-être jamais existé – ni d’ailleurs le récitatif. Le compositeur italien du XVIIe siècle, important précurseur et source d’inspiration d’Antonio Vivaldi, était brillamment contrariant à l’époque de la Contre-Réforme. Préconisant des compositions remplies d’émotions pour convertir le peuple, il a introduit subrepticement dans la musique sacrée la force d’expression intense de l’opéra. Ses oratorios magistraux – inspirés d’histoires bibliques comme celles de Jeptha et de Jonas – sont de véritables opéras. Ils contiennent tout le drame, la tension et le large éventail d’émotions du genre lyrique au XVIIe siècle.
Marc-Antoine Charpentier, élève de Carissimi, a à son tour écrit de nombreux oratorios dont une trentaine autour des récits bibliques. Le plus touchant d’entre eux, Le Reniement de Saint-Pierre, sera présenté à l’occasion de ce concert. |
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22 juillet, 20:30
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Autriche
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Kollegienkirche, Salzbourg – COMPLET J.S. Bach : Johannes Passion + « Cette musique exprime des choses que personne n’avait osé ou pu aborder jusqu’alors. » Tels sont les mots du compositeur Hans Werner Henze à propos de la Passion selon saint Jean de Johann Sebastian Bach. Nous ne pouvons qu’adhérer à ce jugement, tant les Passions de Bach restent uniques dans l’histoire de la musique. Dès les premières notes, il apparaît clairement que cette version plus courte et plus dramatique du récit de la Passion est un moment incontournable à vivre en direct, en particulier dans l’interprétation que nous propose Vox Luminis avec le Freiburger Barockorchester sous la direction de Lionel Meunier.
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23 juillet, 20:30
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Autriche
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Kollegienkirche, Salzbourg J.S. Bach : Johannes Passion + « Cette musique exprime des choses que personne n’avait osé ou pu aborder jusqu’alors. » Tels sont les mots du compositeur Hans Werner Henze à propos de la Passion selon saint Jean de Johann Sebastian Bach. Nous ne pouvons qu’adhérer à ce jugement, tant les Passions de Bach restent uniques dans l’histoire de la musique. Dès les premières notes, il apparaît clairement que cette version plus courte et plus dramatique du récit de la Passion est un moment incontournable à vivre en direct, en particulier dans l’interprétation que nous propose Vox Luminis avec le Freiburger Barockorchester sous la direction de Lionel Meunier.
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15 août, 21:00
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France
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Basilique Saint-Sauveur, Rocamadour
Festival de Rocamadour – concert d’ouverture
J.S. Bach, La Messe en si, BWV 232 + Personne ne sait pourquoi le compositeur protestant a résumé de la sorte, à la fin de sa vie, toutes ses connaissances et tout son savoir-faire, en amplifiant les Kyrie et Gloria existants d’une Missa brevis écrite en 1733. D’ailleurs, ça n’a pas d’importance. Car dans cette œuvre majeure, Bach a su, comme jamais auparavant, associer la beauté à la complexité des voix multiples. Un summum !
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26 août, 20:00
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Autriche
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Dom zu St. Jakob, Innsbruck Bach Dynasty + Vox Luminis a choisi d’éclairer la dynastie Bach à travers cinq compositeurs : Johann Bach, Johann Michael Bach, Johann Christoph Bach, Johann Ludwig Bach et Johann-Sébastian Bach. La généalogie de la famille Bach compte de nombreuses ramifications. Il est donc difficile de se rappeler qui a été le grand-oncle de l’un ou le cousin de l’autre. Ce qu’il faut retenir de ce concert, c’est qu’à travers cette imposante fresque familiale, Vox Luminis traverse près d’un siècle et demi d’histoire de la musique. L’ensemble vocal partira des motets de Johann Bach, composés au début du XVIIème siècle pour aborder les œuvres plus complexes du plus jeune (et non moins célèbre) Jean-Sébastien Bach.
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