Pour son Deutsches Requiem, Brahms avait pu composer sa propre liturgie, les luthériens ne connaissant pas la messe des morts. Vox Luminis suit sa propre voie pour explorer des pages connues et moins connues de son répertoire, sur des textes de Brahms.

Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International.

Pour son Deutsches Requiem, Brahms avait pu composer sa propre liturgie, les luthériens ne connaissant pas la messe des morts. Vox Luminis suit sa propre voie pour explorer des pages connues et moins connues de son répertoire, sur des textes de Brahms.

Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International.

Pour son Deutsches Requiem, Brahms avait pu composer sa propre liturgie, les luthériens ne connaissant pas la messe des morts. Vox Luminis suit sa propre voie pour explorer des pages connues et moins connues de son répertoire, sur des textes de Brahms.

Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International.

Pour son Deutsches Requiem, Brahms avait pu composer sa propre liturgie, les luthériens ne connaissant pas la messe des morts. Vox Luminis suit sa propre voie pour explorer des pages connues et moins connues de son répertoire, sur des textes de Brahms.

Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International.

Nisi Dominus, HWV 238
Concerto pour orgue: sélection de pièces de l’opus 4 et de l’opus 7
Laudate Pueri, HWV 237
Dixit Dominus, HWV 232

Georg Friedrich Haendel a vécu cinq années en Italie, de 1706 à 1710, au cours desquelles il s’est totalement approprié le style italien. Arrivé à Rome en 1707, il séduit immédiatement ses mécènes romains avec les compositions liturgiques, tantôt festives, tantôt intimistes, Dixit dominus et Nisi Dominus. Lionel Meunier et Vox Luminis exultent dans trois harmonisations de psaumes brillantes et exubérantes composées par Haendel à Rome pour la famille aristocratique Colonna.

Coproduction : Perpodium
Avec le soutien du Tax Shelter du gouvernement fédéral belge via Cronos Invest.

Nisi Dominus, HWV 238
Concerto pour orgue: sélection de l’opus 4 et de l’opus 7
Laudate Pueri, HWV 237
Dixit Dominus, HWV 232

Georg Friedrich Haendel a vécu cinq années en Italie, de 1706 à 1710, au cours desquelles il s’est totalement approprié le style italien. Arrivé à Rome en 1707, il séduit immédiatement ses mécènes romains avec les compositions liturgiques, tantôt festives, tantôt intimistes, Dixit dominus et Nisi Dominus. Lionel Meunier et Vox Luminis exultent dans trois harmonisations de psaumes brillantes et exubérantes composées par Haendel à Rome pour la famille aristocratique Colonna.

Coproduction : Perpodium
Avec le soutien du Tax Shelter du gouvernement fédéral belge via Cronos Invest.

Nisi Dominus, HWV 238
Concerto pour orgue: sélection de l’opus 4 et de l’opus 7
Laudate Pueri, HWV 237
Dixit Dominus, HWV 232

Georg Friedrich Haendel a vécu cinq années en Italie, de 1706 à 1710, au cours desquelles il s’est totalement approprié le style italien. Arrivé à Rome en 1707, il séduit immédiatement ses mécènes romains avec les compositions liturgiques, tantôt festives, tantôt intimistes, Dixit dominus et Nisi Dominus. Lionel Meunier et Vox Luminis exultent dans trois harmonisations de psaumes brillantes et exubérantes composées par Haendel à Rome pour la famille aristocratique Colonna.

Coproduction : Perpodium
Avec le soutien du Tax Shelter du gouvernement fédéral belge via Cronos Invest.

Nisi Dominus, HWV 238
Concerto pour orgue: sélection de l’opus 4 et de l’opus 7
Laudate Pueri, HWV 237
Dixit Dominus, HWV 232

Georg Friedrich Haendel a vécu cinq années en Italie, de 1706 à 1710, au cours desquelles il s’est totalement approprié le style italien. Arrivé à Rome en 1707, il séduit immédiatement ses mécènes romains avec les compositions liturgiques, tantôt festives, tantôt intimistes, Dixit dominus et Nisi Dominus. Lionel Meunier et Vox Luminis exultent dans trois harmonisations de psaumes brillantes et exubérantes composées par Haendel à Rome pour la famille aristocratique Colonna.

Coproduction : Perpodium
Avec le soutien du Tax Shelter du gouvernement fédéral belge via Cronos Invest.

Nisi Dominus, HWV 238
Concerto pour orgue: sélection de pièces de l’opus 4 et de l’opus 7
Laudate Pueri, HWV 237
Dixit Dominus, HWV 232

Georg Friedrich Haendel a vécu cinq années en Italie, de 1706 à 1710, au cours desquelles il s’est totalement approprié le style italien. Arrivé à Rome en 1707, il séduit immédiatement ses mécènes romains avec les compositions liturgiques, tantôt festives, tantôt intimistes, Dixit dominus et Nisi Dominus. Lionel Meunier et Vox Luminis exultent dans trois harmonisations de psaumes brillantes et exubérantes composées par Haendel à Rome pour la famille aristocratique Colonna.

Coproduction : Perpodium
Avec le soutien du Tax Shelter du gouvernement fédéral belge via Cronos Invest.

Nisi Dominus, HWV 238
Concerto pour orgue: sélection de pièces de l’opus 4 et de l’opus 7
Laudate Pueri, HWV 237
Dixit Dominus, HWV 232

Georg Friedrich Haendel a vécu cinq années en Italie, de 1706 à 1710, au cours desquelles il s’est totalement approprié le style italien. Arrivé à Rome en 1707, il séduit immédiatement ses mécènes romains avec les compositions liturgiques, tantôt festives, tantôt intimistes, Dixit dominus et Nisi Dominus. Lionel Meunier et Vox Luminis exultent dans trois harmonisations de psaumes brillantes et exubérantes composées par Haendel à Rome pour la famille aristocratique Colonna.

Coproduction : Perpodium
Avec le soutien du Tax Shelter du gouvernement fédéral belge via Cronos Invest.

Nisi Dominus, HWV 238
Concerto pour orgue: sélection de pièces de l’opus 4 et de l’opus 7
Laudate Pueri, HWV 237
Dixit Dominus, HWV 232

Georg Friedrich Haendel a vécu cinq années en Italie, de 1706 à 1710, au cours desquelles il s’est totalement approprié le style italien. Arrivé à Rome en 1707, il séduit immédiatement ses mécènes romains avec les compositions liturgiques, tantôt festives, tantôt intimistes, Dixit dominus et Nisi Dominus. Lionel Meunier et Vox Luminis exultent dans trois harmonisations de psaumes brillantes et exubérantes composées par Haendel à Rome pour la famille aristocratique Colonna.

Coproduction : Perpodium
Avec le soutien du Tax Shelter du gouvernement fédéral belge via Cronos Invest.

Nisi Dominus, HWV 238
Concerto pour orgue: sélection de l’opus 4 et de l’opus 7
Laudate Pueri, HWV 237
Dixit Dominus, HWV 232

Georg Friedrich Haendel a vécu cinq années en Italie, de 1706 à 1710, au cours desquelles il s’est totalement approprié le style italien. Arrivé à Rome en 1707, il séduit immédiatement ses mécènes romains avec les compositions liturgiques, tantôt festives, tantôt intimistes, Dixit dominus et Nisi Dominus. Lionel Meunier et Vox Luminis exultent dans trois harmonisations de psaumes brillantes et exubérantes composées par Haendel à Rome pour la famille aristocratique Colonna.

Coproduction : Perpodium
Avec le soutien du Tax Shelter du gouvernement fédéral belge via Cronos Invest.

Franz Liszt (1811 – 1886) – Les Préludes (1854)
Franz Liszt (1811 – 1886) – Totentanz (1849)
Gabriel Fauré (1845 – 1924) – Requiem Op.48 (version 1893)

Franz Liszt (1811 – 1886) – Les Préludes (1854)
Franz Liszt (1811 – 1886) – Totentanz (1849)
Gabriel Fauré (1845 – 1924) – Requiem Op.48 (version 1893)

Franz Liszt (1811 – 1886) – Les Préludes (1854)
Franz Liszt (1811 – 1886) – Totentanz (1849)
Gabriel Fauré (1845 – 1924) – Requiem Op.48 (version 1893)

Franz Liszt (1811 – 1886) – Les Préludes (1854)
Franz Liszt (1811 – 1886) – Totentanz (1849)
Gabriel Fauré (1845 – 1924) – Requiem Op.48 (version 1893)

Sans Giacomo Carissimi, l’oratorio n’aurait peut-être jamais existé – ni d’ailleurs le récitatif. Le compositeur italien du XVIIe siècle, important précurseur et source d’inspiration d’Antonio Vivaldi, était brillamment contrariant à l’époque de la Contre-Réforme. Préconisant des compositions remplies d’émotions pour convertir le peuple, il a introduit subrepticement dans la musique sacrée la force d’expression intense de l’opéra. Ses oratorios magistraux – inspirés d’histoires bibliques comme celles de Jeptha et de Jonas, et de considérations sur la fugacité des ambitions matérielles dans Vanitas Vanitatum – sont de véritables opéras. Ils contiennent tout le drame, la tension et le large éventail d’émotions du genre lyrique au XVIIe siècle.

Sans Giacomo Carissimi, l’oratorio n’aurait peut-être jamais existé – ni d’ailleurs le récitatif. Le compositeur italien du XVIIe siècle, important précurseur et source d’inspiration d’Antonio Vivaldi, était brillamment contrariant à l’époque de la Contre-Réforme. Préconisant des compositions remplies d’émotions pour convertir le peuple, il a introduit subrepticement dans la musique sacrée la force d’expression intense de l’opéra. Ses oratorios magistraux – inspirés d’histoires bibliques comme celles de Jeptha et de Jonas, et de considérations sur la fugacité des ambitions matérielles dans Vanitas Vanitatum – sont de véritables opéras. Ils contiennent tout le drame, la tension et le large éventail d’émotions du genre lyrique au XVIIe siècle.

Vox Luminis fait revivre l’histoire enchanteresse de The Fairy Queen qui s’inspire du Songe d’une nuit d’été de Shakespeare, une pièce qui, elle aussi, titille l’imagination visuelle. Les belles voix de Vox Luminis résonneront au milieu d’un jeu d’ombres à la frontière du réel et de l’inconscient, un nouveau projet du directeur artistique Lionel Meunier et de la scénographe Emilie Lauwers, en collaboration avec la dramaturge Isaline Claeys et le cinéaste Mário Melo Costa.

Co-production : Concertgebouw Brugge

Vox Luminis fait revivre l’histoire enchanteresse de The Fairy Queen qui s’inspire du Songe d’une nuit d’été de Shakespeare, une pièce qui, elle aussi, titille l’imagination visuelle. Les belles voix de Vox Luminis résonneront au milieu d’un jeu d’ombres à la frontière du réel et de l’inconscient, un nouveau projet du directeur artistique Lionel Meunier et de la scénographe Emilie Lauwers, en collaboration avec la dramaturge Isaline Claeys et le cinéaste Mário Melo Costa.

Co-production : Concertgebouw Brugge

Vox Luminis fait revivre l’histoire enchanteresse de The Fairy Queen qui s’inspire du Songe d’une nuit d’été de Shakespeare, une pièce qui, elle aussi, titille l’imagination visuelle. Les belles voix de Vox Luminis résonneront au milieu d’un jeu d’ombres à la frontière du réel et de l’inconscient, un nouveau projet du directeur artistique Lionel Meunier et de la scénographe Emilie Lauwers, en collaboration avec la dramaturge Isaline Claeys et le cinéaste Mário Melo Costa.

Co-production : Concertgebouw Brugge

Vox Luminis fait revivre l’histoire enchanteresse de The Fairy Queen qui s’inspire du Songe d’une nuit d’été de Shakespeare, une pièce qui, elle aussi, titille l’imagination visuelle. Les belles voix de Vox Luminis résonneront au milieu d’un jeu d’ombres à la frontière du réel et de l’inconscient, un nouveau projet du directeur artistique Lionel Meunier et de la scénographe Emilie Lauwers, en collaboration avec la dramaturge Isaline Claeys et le cinéaste Mário Melo Costa.

Co-production : Concertgebouw Brugge

Pour son Deutsches Requiem, Brahms avait pu composer sa propre liturgie, les luthériens ne connaissant pas la messe des morts. Vox Luminis suit sa propre voie pour explorer des pages connues et moins connues de son répertoire, sur des textes de Brahms.

Pour son Deutsches Requiem, Brahms avait pu composer sa propre liturgie, les luthériens ne connaissant pas la messe des morts. Vox Luminis suit sa propre voie pour explorer des pages connues et moins connues de son répertoire, sur des textes de Brahms.

Pour son Deutsches Requiem, Brahms avait pu composer sa propre liturgie, les luthériens ne connaissant pas la messe des morts. Vox Luminis suit sa propre voie pour explorer des pages connues et moins connues de son répertoire, sur des textes de Brahms.

« Cette musique exprime des choses que personne n’avait osé ou pu aborder jusqu’alors. » Tels sont les mots du compositeur Hans Werner Henze à propos de la Passion selon saint Jean de Johann Sebastian Bach. Nous ne pouvons qu’adhérer à ce jugement, tant les Passions de Bach restent uniques dans l’histoire de la musique. Dès les premières notes, il apparaît clairement que cette version plus courte et plus dramatique du récit de la Passion est un moment incontournable à vivre en direct, en particulier dans l’interprétation que nous propose Vox Luminis avec le Freiburger Barockorchester sous la direction de Lionel Meunier.

« Cette musique exprime des choses que personne n’avait osé ou pu aborder jusqu’alors. » Tels sont les mots du compositeur Hans Werner Henze à propos de la Passion selon saint Jean de Johann Sebastian Bach. Nous ne pouvons qu’adhérer à ce jugement, tant les Passions de Bach restent uniques dans l’histoire de la musique. Dès les premières notes, il apparaît clairement que cette version plus courte et plus dramatique du récit de la Passion est un moment incontournable à vivre en direct, en particulier dans l’interprétation que nous propose Vox Luminis avec le Freiburger Barockorchester sous la direction de Lionel Meunier.

« Cette musique exprime des choses que personne n’avait osé ou pu aborder jusqu’alors. » Tels sont les mots du compositeur Hans Werner Henze à propos de la Passion selon saint Jean de Johann Sebastian Bach. Nous ne pouvons qu’adhérer à ce jugement, tant les Passions de Bach restent uniques dans l’histoire de la musique. Dès les premières notes, il apparaît clairement que cette version plus courte et plus dramatique du récit de la Passion est un moment incontournable à vivre en direct, en particulier dans l’interprétation que nous propose Vox Luminis avec le Freiburger Barockorchester sous la direction de Lionel Meunier.

« Cette musique exprime des choses que personne n’avait osé ou pu aborder jusqu’alors. » Tels sont les mots du compositeur Hans Werner Henze à propos de la Passion selon saint Jean de Johann Sebastian Bach. Nous ne pouvons qu’adhérer à ce jugement, tant les Passions de Bach restent uniques dans l’histoire de la musique. Dès les premières notes, il apparaît clairement que cette version plus courte et plus dramatique du récit de la Passion est un moment incontournable à vivre en direct, en particulier dans l’interprétation que nous propose Vox Luminis avec le Freiburger Barockorchester sous la direction de Lionel Meunier.

« Cette musique exprime des choses que personne n’avait osé ou pu aborder jusqu’alors. » Tels sont les mots du compositeur Hans Werner Henze à propos de la Passion selon saint Jean de Johann Sebastian Bach. Nous ne pouvons qu’adhérer à ce jugement, tant les Passions de Bach restent uniques dans l’histoire de la musique. Dès les premières notes, il apparaît clairement que cette version plus courte et plus dramatique du récit de la Passion est un moment incontournable à vivre en direct, en particulier dans l’interprétation que nous propose Vox Luminis avec le Freiburger Barockorchester sous la direction de Lionel Meunier.

Vox Luminis apporte un nouvel éclairage sur la Passion selon saint Jean de Bach. Avec le Freiburger Barockorchester, l’ensemble ne présente pas l’habituelle troisième version de l’œuvre, mais bien la deuxième. L’encre des partitions de l’ouverture et de la fermeture de cette deuxième version était encore toute fraîche lors de la première le 30 mars 1725. Ces parties donnent à la Passion une aura plus modeste, mais elles sonnent de manière plus familière.

Vox Luminis apporte un nouvel éclairage sur la Passion selon saint Jean de Bach. Avec le Freiburger Barockorchester, l’ensemble ne présente pas l’habituelle troisième version de l’œuvre, mais bien la deuxième. L’encre des partitions de l’ouverture et de la fermeture de cette deuxième version était encore toute fraîche lors de la première le 30 mars 1725. Ces parties donnent à la Passion une aura plus modeste, mais elles sonnent de manière plus familière.

« Cette musique exprime des choses que personne n’avait osé ou pu aborder jusqu’alors. » Tels sont les mots du compositeur Hans Werner Henze à propos de la Passion selon saint Jean de Johann Sebastian Bach. Nous ne pouvons qu’adhérer à ce jugement, tant les Passions de Bach restent uniques dans l’histoire de la musique. Dès les premières notes, il apparaît clairement que cette version plus courte et plus dramatique du récit de la Passion est un moment incontournable à vivre en direct, en particulier dans l’interprétation que nous propose Vox Luminis avec le Freiburger Barockorchester sous la direction de Lionel Meunier.

Selon ses propos, avec sa Missa Papæ Marcelli de 1562, Palestrina sauva la musique figurée liturgique : il apaisa ainsi les prélats rassemblés lors du Concile de Trente, prélats excédés par la trop grande complexité de la polyphonie qui rendait incompréhensible le message spirituel des textes mis en musique. Le Pape Marcel II, satisfait de la limpidité palestrinienne, renonça à imposer la monodie grégorienne comme seul chant autorisé dans les églises. Il s’avère impossible de vérifier la véracité de cette anecdote. De fait, la beauté indicible de la Missa Papæ Marcelli repose en partie sur l’utilisation par Palestrina de mélodies tirées du plain-chant – technique qui parcourt, à vrai dire, toute l’œuvre du compositeur. Sans renoncer à la beauté de l’architecture sonore, et donc à la complexité, Palestrina livrait un chef-d’œuvre d’intelligibilité textuelle, la messe gagnant une aura incomparable au fil des siècles.

Selon ses propos, avec sa Missa Papæ Marcelli de 1562, Palestrina sauva la musique figurée liturgique : il apaisa ainsi les prélats rassemblés lors du Concile de Trente, prélats excédés par la trop grande complexité de la polyphonie qui rendait incompréhensible le message spirituel des textes mis en musique. Le Pape Marcel II, satisfait de la limpidité palestrinienne, renonça à imposer la monodie grégorienne comme seul chant autorisé dans les églises. Il s’avère impossible de vérifier la véracité de cette anecdote. De fait, la beauté indicible de la Missa Papæ Marcelli repose en partie sur l’utilisation par Palestrina de mélodies tirées du plain-chant – technique qui parcourt, à vrai dire, toute l’œuvre du compositeur. Sans renoncer à la beauté de l’architecture sonore, et donc à la complexité, Palestrina livrait un chef-d’œuvre d’intelligibilité textuelle, la messe gagnant une aura incomparable au fil des siècles.

Selon ses propos, avec sa Missa Papæ Marcelli de 1562, Palestrina sauva la musique figurée liturgique : il apaisa ainsi les prélats rassemblés lors du Concile de Trente, prélats excédés par la trop grande complexité de la polyphonie qui rendait incompréhensible le message spirituel des textes mis en musique. Le Pape Marcel II, satisfait de la limpidité palestrinienne, renonça à imposer la monodie grégorienne comme seul chant autorisé dans les églises. Il s’avère impossible de vérifier la véracité de cette anecdote. De fait, la beauté indicible de la Missa Papæ Marcelli repose en partie sur l’utilisation par Palestrina de mélodies tirées du plain-chant – technique qui parcourt, à vrai dire, toute l’œuvre du compositeur. Sans renoncer à la beauté de l’architecture sonore, et donc à la complexité, Palestrina livrait un chef-d’œuvre d’intelligibilité textuelle, la messe gagnant une aura incomparable au fil des siècles.

Selon ses propos, avec sa Missa Papæ Marcelli de 1562, Palestrina sauva la musique figurée liturgique : il apaisa ainsi les prélats rassemblés lors du Concile de Trente, prélats excédés par la trop grande complexité de la polyphonie qui rendait incompréhensible le message spirituel des textes mis en musique. Le Pape Marcel II, satisfait de la limpidité palestrinienne, renonça à imposer la monodie grégorienne comme seul chant autorisé dans les églises. Il s’avère impossible de vérifier la véracité de cette anecdote. De fait, la beauté indicible de la Missa Papæ Marcelli repose en partie sur l’utilisation par Palestrina de mélodies tirées du plain-chant – technique qui parcourt, à vrai dire, toute l’œuvre du compositeur. Sans renoncer à la beauté de l’architecture sonore, et donc à la complexité, Palestrina livrait un chef-d’œuvre d’intelligibilité textuelle, la messe gagnant une aura incomparable au fil des siècles.